Divagations rôlistes :

Imaginez Psychodrame dans AD&D :

« Pourquoi dois je tuer cet orc ? »

Transition du système d’AD&D 3.5 à celui de Psychodrame :

« Ben à quoi elle sert mon épée vorpale dans cette scène ? Pourquoi je gagne plus d’xp parce que je l’ai tué ? »

Joueur philosophe :

« L’exploration de ce donjon est elle une parabole de ma recherche sur moi et sur ce que je fais dans un monde hostile que je pourchasse ? »
« et surtout, pourquoi mais POURQUOI on me file toujours les missions les plus pourraves dans des auberges que je ne devrais même pas fréquenter vu les wagons d’or que je trimballe ? »

« Pourquoi dois-je ouvrir cette porte dont le destin semble être de m’empêcher d’accéder à de l’or virtuel, simple ressource me permettant de devenir plus efficace dans l’abattage d’ennemis et l’ouverture d’autres portes, quelle est donc cette entropie qui m’amène vers des portes de plus en plus difficiles à ouvrir ?
qui m’offrent de plus en plus d’or grâce auquel j’ouvre de mieux en mieux les portes !
raaaaah »

« Et que font ces créatures à attendre leur bourreau ? Pourquoi n’ouvrent-elles pas les portes pour partir avec l’or, qui les en empêche ? »

Version Vampire : ah, quel malheur, mon humanité se dissout dans ce sang dont je m’abreuve ! (spéciale dédicace à Christoph)
(elle se dissout mais je choppe célérité à donf et je vais fumer les anciens)
Quelle damnation que vivre éternellement sans pouvoir contempler l’astre du jour !
(attends, dans le manuel du maître il est écrit que si tu atteins le niveau d’un antédiluvien de 2ème génération, la lumière ne t’affecte plus)
Cool, bon, ben je le marrave et je bois son sang, alors…

Merci à Helltonio pour cette émulation nocturne !

 

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